La République française en mode hors-la-loi, l’Algérie ne pliera pas: La France récidive dans l’outrance et la provocation

 L’arrogance française a encore frappé. Dans un acte d’une gravité sans précédent, les autorités judiciaires françaises se sont permis de placer en détention provisoire un agent consulaire algérien en poste, piétinant avec un cynisme à peine dissimulé les règles élémentaires du droit international, notamment celles régissant les immunités diplomatiques. Une provocation flagrante, indigne d’un État […]

Avr 14, 2025 - 20:49
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La République française en mode hors-la-loi, l’Algérie ne pliera pas: La France récidive dans l’outrance et la provocation

 L’arrogance française a encore frappé. Dans un acte d’une gravité sans précédent, les autorités judiciaires françaises se sont permis de placer en détention provisoire un agent consulaire algérien en poste, piétinant avec un cynisme à peine dissimulé les règles élémentaires du droit international, notamment celles régissant les immunités diplomatiques. Une provocation flagrante, indigne d’un État qui prétend au respect et à la grandeur.

Par Meriem B.

Ce geste, orchestré sous le vernis de procédures judiciaires douteuses, relève en réalité d’une opération politique de basse manœuvre. Comment peut-on justifier une telle atteinte à l’intégrité diplomatique algérienne pour un individu connu pour sa haine viscérale envers l’Algérie, ses institutions, et pour ses liens plus que troubles avec des organisations subversives ? Qu’on ne vienne pas nous servir des prétextes juridiques. Personne n’est dupe. L’argument grotesque d’un téléphone  » borné  » dans un quartier devient subitement la clé de voûte d’une cabale judiciaire grotesque. Tout cela pour faire plaisir à un voyou numérique notoire, Amir Boukhors alias AmirDZ, une marionnette manipulée par des officines opaques, hébergée et protégée par Paris depuis des années, malgré les multiples demandes d’extradition algériennes. Pourquoi cette protection obstinée ? Pourquoi ce silence complice ? La réponse est claire : la France joue un double jeu. Et elle le joue salement. Nous sommes en droit de nous interroger : qui, à Paris, tire les ficelles de cette mise en scène ? Qui, dans les cercles du pouvoir français, cherche délibérément à saboter les efforts de réconciliation entre nos deux pays, à peine amorcés entre les Présidents Abdelmadjid Tebboune et Emmanuel Macron ? Ce n’est ni un accident judiciaire, ni une maladresse. C’est une décision mûrement réfléchie, prise dans l’ombre par ceux qui refusent de tourner la page du mépris colonial et qui continuent, malgré les discours de façade, à regarder l’Algérie avec condescendance. La France a franchi une ligne rouge. Elle a choisi l’affront, le mépris, la provocation. Qu’elle ne s’attende pas à ce que l’Algérie reste passive. Notre pays est souverain, digne, et ne tolérera jamais qu’un de ses représentants soit ainsi humilié sur le sol d’un pays qui se targue d’être le berceau des droits de l’homme, mais qui, lorsqu’il s’agit de l’Algérie, s’autorise tous les abus. Nous n’accepterons jamais que la défense des intérêts d’un voyou notoire, d’un agité de la Toile au service de causes troubles, passe avant le respect dû à un représentant de l’État algérien. Ce choix, la France l’a fait. Elle devra maintenant en assumer les conséquences. Qu’ils le sachent à Paris : nous ne laisserons pas passer cette insulte d’État. Le silence serait une trahison. La passivité, une complicité. Car si nous cédons aujourd’hui, ce sont tous les principes de souveraineté, de dignité et de respect mutuel qui seront piétinés demain. À ceux qui à Paris pensent encore que l’Algérie est faible, divisée, incapable de réagir, nous adressons une réponse simple : vous vous trompez d’époque, vous vous trompez de peuple. Et vous venez d’unir toute une nation contre votre mépris. L’Algérie ne négociera pas sa dignité. Elle ne pliera pas. L’Algérie ne quémandera pas. Et surtout, Elle saura répondre. Honorablement, mais sans faiblesse.
M. B.