Le Parlement arabe condamne les déclarations sionistes concernant le déplacement des Palestiniens
LE CAIRE - Le Parlement arabe a condamné les déclarations sionistes qui appellent au déplacement du peuple palestinien de la bande de Ghaza par le passage de Rafah, considérant ces appels comme "une extension de la politique de nettoyage ethnique et de déplacement forcé", menée par l'occupation depuis des décennies. Le président du Parlement arabe, Mohammed Al-Yamahi, a souligné que le Parlement considérait les appels du dénommé "Netanyahu", "inacceptables" et "une violation flagrante du droit international, du droit international humanitaire, des Conventions de Genève et des résolutions pertinentes de l'ONU". Ces appels constituent également, a-t-il poursuivi, "une atteinte flagrante au droit du peuple palestinien à rester sur son territoire et à établir son Etat indépendant et souverain" et "une menace directe pour la paix et la sécurité internationales". Dans ce même contexte, il a souligné que le déplacement forcé constitue "un crime de guerre à part entière, imprescriptible". Et de réaffirmer que "le peuple palestinien est attaché à sa terre et n'acceptera aucun projet suspect visant à le déraciner de sa patrie". Al-Yamahi a réitéré aussi le "rejet catégorique par le Parlement arabe de toute tentative de déplacement de la part de l'entité sioniste dans la bande de Ghaza, en Cisjordanie ou dans toute partie du territoire palestinien occupé, ainsi que de toute tentative de liquidation de la cause palestinienne". Il a appelé, à cet effet, la communauté internationale, le Conseil de sécurité et les Nations Unies à "assumer leurs responsabilités juridiques, morales et humanitaires pour mettre fin à ces graves violations" et à "fournir la protection internationale nécessaire au peuple palestinien et travailler avec diligence pour lui permettre d'exercer son droit légitime à l'autodétermination et d'établir son Etat indépendant et souverain...".

LE CAIRE - Le Parlement arabe a condamné les déclarations sionistes qui appellent au déplacement du peuple palestinien de la bande de Ghaza par le passage de Rafah, considérant ces appels comme "une extension de la politique de nettoyage ethnique et de déplacement forcé", menée par l'occupation depuis des décennies.
Le président du Parlement arabe, Mohammed Al-Yamahi, a souligné que le Parlement considérait les appels du dénommé "Netanyahu", "inacceptables" et "une violation flagrante du droit international, du droit international humanitaire, des Conventions de Genève et des résolutions pertinentes de l'ONU".
Ces appels constituent également, a-t-il poursuivi, "une atteinte flagrante au droit du peuple palestinien à rester sur son territoire et à établir son Etat indépendant et souverain" et "une menace directe pour la paix et la sécurité internationales".
Dans ce même contexte, il a souligné que le déplacement forcé constitue "un crime de guerre à part entière, imprescriptible". Et de réaffirmer que "le peuple palestinien est attaché à sa terre et n'acceptera aucun projet suspect visant à le déraciner de sa patrie".
Al-Yamahi a réitéré aussi le "rejet catégorique par le Parlement arabe de toute tentative de déplacement de la part de l'entité sioniste dans la bande de Ghaza, en Cisjordanie ou dans toute partie du territoire palestinien occupé, ainsi que de toute tentative de liquidation de la cause palestinienne".
Il a appelé, à cet effet, la communauté internationale, le Conseil de sécurité et les Nations Unies à "assumer leurs responsabilités juridiques, morales et humanitaires pour mettre fin à ces graves violations" et à "fournir la protection internationale nécessaire au peuple palestinien et travailler avec diligence pour lui permettre d'exercer son droit légitime à l'autodétermination et d'établir son Etat indépendant et souverain...".