Les hommages pleuvent à un monument du septième art
La disparition, avant-hier, du réalisateur algérien Mohamed Lakhdar-Hamina, alors âgé de 95 ans, a provoqué une onde de choc dans le monde culturel. Les hommages, sur la Toile n’ont eu de cesse de pleuvoir, provenant certes de personnalités liées à la culture et au septième art, mais aussi de simples cinéphiles, saluant en Mohamed Lakhdar-Hamina cet homme qui, en 1975, a été le premier du monde arabe et du continent africain à avoir pu décrocher la Palme d’or au Festival de Cannes, et cela à une époque où le cinéma était à son âge d’or et où les réalisateurs de génie étaient nombreux.
La disparition, avant-hier, du réalisateur algérien Mohamed Lakhdar-Hamina, alors âgé de 95 ans, a provoqué une onde de choc dans le monde culturel. Les hommages, sur la Toile n’ont eu de cesse de pleuvoir, provenant certes de personnalités liées à la culture et au septième art, mais aussi de simples cinéphiles, saluant en Mohamed Lakhdar-Hamina cet homme qui, en 1975, a été le premier du monde arabe et du continent africain à avoir pu décrocher la Palme d’or au Festival de Cannes, et cela à une époque où le cinéma était à son âge d’or et où les réalisateurs de génie étaient nombreux.