L'interdiction par l'entité sioniste des médias internationaux à Ghaza dénoncée
NEW YORK (Nations unies) - Le commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, a dénoncé l'interdiction par les autorités de l'occupation sioniste des médias internationaux dans la bande de Ghaza, depuis le début de l'agression génocidaire en octobre 2023. "Depuis le début de la guerre il y a un an et demi, les autorités (sionistes) interdisent l'entrée des médias internationaux à Ghaza pour couvrir les événements de manière indépendante", a écrit M. Lazzarini dans un message publié jeudi sur les réseaux sociaux. "Cela alimente la propagande, la désinformation et la propagation de la déshumanisation", a-t-il prévenu. Le patron de l'UNRWA a en outre souligné que "les journalistes palestiniens continuent de faire un travail héroïque, au prix d'un lourd tribut. 170 journalistes ont été tués à ce jour". Et de poursuivre: "Pendant ce temps, des récits crédibles et des témoignages d'organisations humanitaires sont discrédités et remis en question". Lazzarini a tenu à préciser dans ce contexte que "la libre circulation de l'information et l'indépendance des reportages sont essentielles pour établir les faits et garantir la responsabilité en temps de conflit. Ghaza ne doit pas faire exception" "Il est grand temps d'autoriser les médias internationaux à Ghaza", a-t-il conclu dans son message. Les forces d'occupation sionistes ont repris leur agression le 18 mars contre la bande de Ghaza après une interruption de plus de deux mois, consécutive à un accord de cessez-le-feu. Selon les autorités sanitaires palestiniennes, les bombardements aériens de l'entité sioniste ont fait 1.652 martyrs et 4.391 blessés depuis le 18 mars, tandis que le bilan de l'agression sioniste contre l'enclave palestinienne s'élève jusque-là, à 51.025 martyrs et 116.432 blessés, depuis le 7 octobre 2023.


NEW YORK (Nations unies) - Le commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, a dénoncé l'interdiction par les autorités de l'occupation sioniste des médias internationaux dans la bande de Ghaza, depuis le début de l'agression génocidaire en octobre 2023.
"Depuis le début de la guerre il y a un an et demi, les autorités (sionistes) interdisent l'entrée des médias internationaux à Ghaza pour couvrir les événements de manière indépendante", a écrit M. Lazzarini dans un message publié jeudi sur les réseaux sociaux.
"Cela alimente la propagande, la désinformation et la propagation de la déshumanisation", a-t-il prévenu.
Le patron de l'UNRWA a en outre souligné que "les journalistes palestiniens continuent de faire un travail héroïque, au prix d'un lourd tribut. 170 journalistes ont été tués à ce jour". Et de poursuivre: "Pendant ce temps, des récits crédibles et des témoignages d'organisations humanitaires sont discrédités et remis en question".
Lazzarini a tenu à préciser dans ce contexte que "la libre circulation de l'information et l'indépendance des reportages sont essentielles pour établir les faits et garantir la responsabilité en temps de conflit. Ghaza ne doit pas faire exception"
"Il est grand temps d'autoriser les médias internationaux à Ghaza", a-t-il conclu dans son message.
Les forces d'occupation sionistes ont repris leur agression le 18 mars contre la bande de Ghaza après une interruption de plus de deux mois, consécutive à un accord de cessez-le-feu.
Selon les autorités sanitaires palestiniennes, les bombardements aériens de l'entité sioniste ont fait 1.652 martyrs et 4.391 blessés depuis le 18 mars, tandis que le bilan de l'agression sioniste contre l'enclave palestinienne s'élève jusque-là, à 51.025 martyrs et 116.432 blessés, depuis le 7 octobre 2023.