Révélations chocs: les Emirats Arabes Unis accepte d’offrir 43 milliards de dollars à l’entité sioniste
Le monde arabe est secoué par une révélation retentissante qui jette une lumière crue sur les manœuvres souterraines visant à redessiner l’avenir de la bande de Gaza. Le journaliste égyptien Oussama Jawish, figure connue pour ses analyses politiques incisives, a dévoilé un plan d’une ampleur financière stupéfiante impliquant les Émirats arabes unis et l’entité sioniste, […]

Le monde arabe est secoué par une révélation retentissante qui jette une lumière crue sur les manœuvres souterraines visant à redessiner l’avenir de la bande de Gaza.
Le journaliste égyptien Oussama Jawish, figure connue pour ses analyses politiques incisives, a dévoilé un plan d’une ampleur financière stupéfiante impliquant les Émirats arabes unis et l’entité sioniste, visant à démanteler la résistance palestinienne à Gaza et à imposer une nouvelle administration sous l’égide émiratie.
Selon les informations divulguées par Jawish, Abu Dhabi aurait décidé d’allouer la somme colossale de 43 milliards de dollars à un projet destiné à « démanteler l’armement du Hamas » et à « former une administration civile » pour gouverner la bande de Gaza.
Cette initiative intervient à un moment où l’occupation israélienne poursuit sans relâche sa stratégie de déplacement forcé des populations palestiniennes, intensifiant la crise humanitaire et démographique dans l’enclave assiégée.
Une offre sioniste rapidement acceptée par Abu Dhabi
Ce qui rend cette révélation particulièrement explosive, c’est l’origine présumée de l’idée. Oussama Jawish affirme que cette proposition aurait été avancée par l’ancien numéro 2 de l’armée génocidaire sioniste et leader de la gauche sioniste, Yaïr Golan directement aux Émirats arabes unis.
Plus troublant encore, le ministre des Affaires étrangères émirati, Abdallah ben Zayed Al Nahyan, aurait non seulement « accueilli favorablement » l’idée mais l’aurait « rapidement acceptée », se proposant même de la financer intégralement.
L’objectif de ce projet est clair et sans équivoque : obtenir la capitulation totale du Hamas par le « dépôt entièrement des armes », condition sine qua non pour toute reconstruction future de Gaza.
Une fois désarmée, la ville ne dépendrait plus de l’Autorité Palestinienne, dont l’autorité et la légitimité sont déjà mises à mal, mais serait gérée par cette nouvelle administration civile financée et, de facto, influencée par les Émirats.
Implications géopolitiques et danger pour la cause palestinienne
Si ce complot hourdis se confirme, il mettrait en lumière une ingérence sans précédent dans les affaires intérieures palestiniennes et représenteraient une trahison flagrante des aspirations à l’autodétermination du peuple palestinien.
La démarche émiratie, perçue par de nombreux analystes comme une tentative de normalisation accélérée avec l’entité sioniste sous couvert d’aide humanitaire ou de reconstruction, soulève de sérieuses questions sur les véritables motivations derrière cet investissement pharaonique.
Ce plan secret, s’il se concrétisait, aurait plusieurs conséquences désastreuses :
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Marginalisation de l’Autorité Palestinienne : En contournant l’AP et en proposant une administration alternative, les Émirats contribueraient à affaiblir davantage une institution déjà fragilisée, risquant d’accentuer la fragmentation politique palestinienne.
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Légitimation de l’Occupation : En se chargeant de la gestion post-conflit de Gaza sous des conditions dictées par l’entité sioniste (désarmement du Hamas), Abu Dhabi pourrait involontairement contribuer à légitimer l’occupation et les opérations militaires sionistes visant à briser la résistance.
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Détournement de l’aide internationale : Les 43 milliards de dollars, s’ils sont utilisés à ces fins, ne serviraient pas à une reconstruction neutre et désintéressée, mais à un agenda politique précis qui correspond aux intérêts de l’entité sioniste.
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Préparation du « Jour d’Après » selon Tel-Aviv : Ce plan s’inscrit parfaitement dans la vision israélienne du « jour d’après » à Gaza, qui exclut la gouvernance du Hamas et une réintégration de la bande sous l’Autorité Palestinienne telle qu’elle existe.
Bien que ces informations n’aient pas encore été commentées officiellement par les autorités émiraties, elles résonnent profondément dans un contexte où les accords de normalisation dits « Accords d’Abraham » ont déjà provoqué une fracture au sein du monde arabe.
La révélation d’Oussama Jawish met en lumière les coulisses d’une stratégie insidieuse qui cherche à redéfinir la géopolitique régionale, au détriment de la souveraineté et de la résistance palestiniennes.
Le rôle des Émirats arabes unis dans cette affaire placerait Abu Dhabi au cœur d’un scandale international majeur, accentuant la méfiance et la colère de millions d’Arabes et de Musulmans qui voient dans ces manœuvres une trahison de la cause palestinienne et une complicité avec l’occupant.