Ciblage des journalistes à Ghaza: RSF demande une "action forte" de la communauté internationale pour stopper l'armée sioniste
PARIS - L'ONG Reporters sans frontières (RSF) a demandé, lundi, une "action forte" de la communauté internationale pour stopper l'armée d'occupation sioniste qui a lâchement assassiné six journalistes, dimanche à Ghaza. La chaîne de télévision qatarie Al Jazeera a annoncé dimanche que cinq de ses journalistes sont tombés en martyrs lors d'une frappe sioniste dans la bande de Ghaza. Parmi eux, Anas al-Sharif, 28 ans, reporter bien connu de ses téléspectateurs, que l'armée sioniste a reconnu avoir ciblé. Les autres martyrs sont le correspondant Mohammed Qreiqeh, ainsi que des cameramen, Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal et Moamen Aliwa. Lundi, un sixième journaliste, Mohammed Al-Khaldi, a succombé à ses blessures de la veille. Il était un journaliste pigiste qui collaborait occasionnellement avec des médias locaux. "Anas al-Sharif, l'un des journalistes les plus célèbres de la bande de Ghaza, était la voix de la souffrance" imposée par l'entité sioniste aux Palestiniens de Ghaza, a estimé l'ONG dans un communiqué transmis aux médias, en demandant une "action forte de la communauté internationale pour stopper" l'armée sioniste. Selon RSF, "le Conseil de sécurité des Nations unies doit se réunir d'urgence sur le fondement de la résolution 2222 de 2015 sur la protection des journalistes en période de conflit armé", afin d'éviter "de tels meurtres extrajudiciaires de professionnels de médias". L'ONG rappelle avoir déposé quatre plaintes contre l'armée sioniste "auprès de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre commis contre les journalistes à Ghaza".

PARIS - L'ONG Reporters sans frontières (RSF) a demandé, lundi, une "action forte" de la communauté internationale pour stopper l'armée d'occupation sioniste qui a lâchement assassiné six journalistes, dimanche à Ghaza.
La chaîne de télévision qatarie Al Jazeera a annoncé dimanche que cinq de ses journalistes sont tombés en martyrs lors d'une frappe sioniste dans la bande de Ghaza. Parmi eux, Anas al-Sharif, 28 ans, reporter bien connu de ses téléspectateurs, que l'armée sioniste a reconnu avoir ciblé.
Les autres martyrs sont le correspondant Mohammed Qreiqeh, ainsi que des cameramen, Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal et Moamen Aliwa.
Lundi, un sixième journaliste, Mohammed Al-Khaldi, a succombé à ses blessures de la veille. Il était un journaliste pigiste qui collaborait occasionnellement avec des médias locaux.
"Anas al-Sharif, l'un des journalistes les plus célèbres de la bande de Ghaza, était la voix de la souffrance" imposée par l'entité sioniste aux Palestiniens de Ghaza, a estimé l'ONG dans un communiqué transmis aux médias, en demandant une "action forte de la communauté internationale pour stopper" l'armée sioniste.
Selon RSF, "le Conseil de sécurité des Nations unies doit se réunir d'urgence sur le fondement de la résolution 2222 de 2015 sur la protection des journalistes en période de conflit armé", afin d'éviter "de tels meurtres extrajudiciaires de professionnels de médias".
L'ONG rappelle avoir déposé quatre plaintes contre l'armée sioniste "auprès de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre commis contre les journalistes à Ghaza".