Ghaza: quatorze membres du Conseil de sécurité "préoccupés" par l'usage de famine comme arme de guerre
NEW YORK (Nations Unies) - Quatorze membres sur les quinze siégeant au Conseil de sécurité de l'ONU ont exprimé leur "profonde préoccupation" quant à l'usage de la famine comme arme de guerre par l'occupation sioniste à Ghaza, appelant à un cessez-le-feu "immédiat, inconditionnel, et permanent". Dans une déclaration officielle, quatorze membres du Conseil de sécurité, à l'exception des Etats-Unis, à savoir Guyana, la Slovénie, l'Algérie, la Chine, le Danemark, la France, la Grèce, le Pakistan, Panama la République de Corée, la Russie, la Sierra Leone, la Somalie et le Royaume-Uni se sont dits "préoccupés" par la situation de famine, désormais officielle dans la bande de Ghaza. Au moins 1,5 millions de personnes font face à une crise d'insécurité alimentaire et au moins 132.000 risquent de souffrir de malnutrition aiguë d'ici à juin 2026, indique la déclaration qui signale que 41.000 enfants "risquent de mourir de faim à la même échéance". "L'utilisation de la famine comme arme de guerre est clairement prohibée en vertu du droit humanitaire international. La famine à Ghaza doit être stoppée immédiatement", soutiennent les quatorze membres du Conseil de sécurité. Ils appellent, en outre, à un cessez-le-feu "immédiat, sans condition et permanent", invitant l'occupation sioniste à faciliter l'accès de l'aide humanitaire et à renoncer à ses plans visant à occuper la ville de Ghaza.

NEW YORK (Nations Unies) - Quatorze membres sur les quinze siégeant au Conseil de sécurité de l'ONU ont exprimé leur "profonde préoccupation" quant à l'usage de la famine comme arme de guerre par l'occupation sioniste à Ghaza, appelant à un cessez-le-feu "immédiat, inconditionnel, et permanent".
Dans une déclaration officielle, quatorze membres du Conseil de sécurité, à l'exception des Etats-Unis, à savoir Guyana, la Slovénie, l'Algérie, la Chine, le Danemark, la France, la Grèce, le Pakistan, Panama la République de Corée, la Russie, la Sierra Leone, la Somalie et le Royaume-Uni se sont dits "préoccupés" par la situation de famine, désormais officielle dans la bande de Ghaza.
Au moins 1,5 millions de personnes font face à une crise d'insécurité alimentaire et au moins 132.000 risquent de souffrir de malnutrition aiguë d'ici à juin 2026, indique la déclaration qui signale que 41.000 enfants "risquent de mourir de faim à la même échéance".
"L'utilisation de la famine comme arme de guerre est clairement prohibée en vertu du droit humanitaire international. La famine à Ghaza doit être stoppée immédiatement", soutiennent les quatorze membres du Conseil de sécurité.
Ils appellent, en outre, à un cessez-le-feu "immédiat, sans condition et permanent", invitant l'occupation sioniste à faciliter l'accès de l'aide humanitaire et à renoncer à ses plans visant à occuper la ville de Ghaza.