Mme Cherfi préside l'ouverture de la 2e rencontre médicale nationale sur les maladies endocriniennes et le diabète chez l'enfant
ALGER - La Déléguée nationale à la protection de l'enfance, Meriem Cherfi a présidé, jeudi à Alger, l'ouverture de la 2e rencontre médicale nationale sur les maladies endocriniennes et le diabète chez l'enfant, avec la participation d'experts algériens et étrangers. Lors de cette rencontre organisée par la Société algérienne d'endocrinologie et diabétologie pédiatrique (SAEDP), Mme Cherfi a salué la stratégie adoptée par le ministère de la Santé visant à réaliser un dépistage précoce chez les nouveau-nés pour détecter certaines maladies pouvant entraîner, plus tard, des handicaps mentaux, à l'instar de l'hypothyroïdie. De son côté, Fatma Bousmaha, représentante du ministère de la Santé, a affirmé que "le dépistage précoce de deux maladies graves chez les nouveau-nés avait effectivement été lancé. Il s'agit de l'hypothyroïdie et d'un déficit en acide aminé dans les protéines, ce qui entrave le développement du cerveau de l'enfant". Elle a également indiqué que "le ministère de la Santé réaffirme son plein soutien à toute initiative scientifique susceptible d'améliorer le dépistage précoce des maladies touchant la santé des enfants, en particulier celles liées aux troubles endocriniens". Ce genre de rencontres, a-t-elle ajouté, représente "une plateforme essentielle pour l'échange d'expériences et le renforcement de la coopération entre médecins et chercheurs", au service de la santé et du développement sain de l'enfant. Pour sa part, la présidente de la SAEDP, Dr Asmahane Ladjouze, a précisé que le dépistage précoce de ces deux maladies se fait par un prélèvement effectué chez les nouveau-nés âgés entre 3 et 5 jours. Le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en Algérie, Dr Phanuel Habimana, a salué les "progrès significatifs réalisés par l'Algérie dans le domaine de la santé", réaffirmant le "soutien permanent de l'OMS à l'Algérie dans la lutte contre les différentes maladies".

ALGER - La Déléguée nationale à la protection de l'enfance, Meriem Cherfi a présidé, jeudi à Alger, l'ouverture de la 2e rencontre médicale nationale sur les maladies endocriniennes et le diabète chez l'enfant, avec la participation d'experts algériens et étrangers.
Lors de cette rencontre organisée par la Société algérienne d'endocrinologie et diabétologie pédiatrique (SAEDP), Mme Cherfi a salué la stratégie adoptée par le ministère de la Santé visant à réaliser un dépistage précoce chez les nouveau-nés pour détecter certaines maladies pouvant entraîner, plus tard, des handicaps mentaux, à l'instar de l'hypothyroïdie.
De son côté, Fatma Bousmaha, représentante du ministère de la Santé, a affirmé que "le dépistage précoce de deux maladies graves chez les nouveau-nés avait effectivement été lancé. Il s'agit de l'hypothyroïdie et d'un déficit en acide aminé dans les protéines, ce qui entrave le développement du cerveau de l'enfant".
Elle a également indiqué que "le ministère de la Santé réaffirme son plein soutien à toute initiative scientifique susceptible d'améliorer le dépistage précoce des maladies touchant la santé des enfants, en particulier celles liées aux troubles endocriniens".
Ce genre de rencontres, a-t-elle ajouté, représente "une plateforme essentielle pour l'échange d'expériences et le renforcement de la coopération entre médecins et chercheurs", au service de la santé et du développement sain de l'enfant.
Pour sa part, la présidente de la SAEDP, Dr Asmahane Ladjouze, a précisé que le dépistage précoce de ces deux maladies se fait par un prélèvement effectué chez les nouveau-nés âgés entre 3 et 5 jours.
Le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en Algérie, Dr Phanuel Habimana, a salué les "progrès significatifs réalisés par l'Algérie dans le domaine de la santé", réaffirmant le "soutien permanent de l'OMS à l'Algérie dans la lutte contre les différentes maladies".