New York, Londres, Rome, Madrid, Paris, Barcelone : marches pour la paix à Gaza
Des centaines de personnes ont manifesté dans l’Etat de New York, aux Etats-Unis, pour exiger un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza, en proie à une guerre génocidaire menée par l’occupation sioniste depuis deux ans, a rapporté, dimanche, l’agence de presse palestinienne Wafa. Les manifestants se sont rassemblés devant ... Lire la suite

Des centaines de personnes ont manifesté dans l’Etat de New York, aux Etats-Unis, pour exiger un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza, en proie à une guerre génocidaire menée par l’occupation sioniste depuis deux ans, a rapporté, dimanche, l’agence de presse palestinienne Wafa.
Les manifestants se sont rassemblés devant la bibliothèque publique de Bryant Park pour exiger un embargo immédiat sur les armes et des sanctions contre l’entité sioniste ainsi que la fin du génocide en cours contre le peuple palestinien, précise Wafa.
Ils ont scandé des slogans soulignant que le temps était venu de prendre une position claire sur Gaza, ajoute la même source.
Cette action de solidarité s’inscrit dans le cadre des efforts visant à affirmer la solidarité indéfectible des New-Yorkais avec le peuple palestinien, deux ans après le début de l’agression sioniste à Gaza.
Des dizaines de milliers de personnes ont défilé, par ailleurs, samedi, à Rome, Barcelone, Londres, Paris, Dublin et Madrid notamment pour réclamer la fin de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Gaza, une mobilisation qui fait suite à l’interception par l’entité sioniste de la flottille internationale chargée d’aide humanitaire pour le territoire palestinien.
Quelque 250 000 personnes ont participé, samedi, à la manifestation de soutien à la Palestine à Rome pour réclamer la fin des agressions sionistes à Gaza, a indiqué la préfecture de police de la capitale italienne.
Selon les organisateurs, «un million» de manifestants ont marché dans le centre de Rome, scandant «Stop au génocide» et brandissant des pancartes : «Colonies juives, hors de Cisjordanie», ou encore «La Terre Sainte crie pour la paix».
A Madrid, ils étaient près de 92 000 à marcher pour Gaza, selon la délégation du gouvernement à Madrid. «C’est nous, ceux dont la vie n’est pas en danger, qui devons lutter pour ceux qui souffrent véritablement», avance Marcos Pagadizabal, un étudiant de 19 ans participant à la marche.
Le 14 septembre, plus de 100 000 personnes avaient manifesté dans la capitale espagnole contre la présence d’une supposée équipe sportive de l’entité sioniste dans le Tour cycliste d’Espagne. Les actions des manifestants avaient poussé les organisateurs à suspendre prématurément la dernière étape.
A Barcelone, c’est derrière une immense banderole rouge sur laquelle on pouvait lire «Arrêtons le génocide en Palestine. Halte au commerce d’armes avec Israël», que quelque 70 000 manifestants, selon la police municipale, ont défilé dans les rues du centre-ville.
A Londres, un millier de personnes se sont rassemblées à Trafalgar Square pour soutenir le groupe Palestine Action, classé «terroriste» par le gouvernement début juillet.
A Dublin, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées devant le Parlement irlandais pour marquer «les deux ans du génocide à Gaza», selon les termes des organisateurs.
A Paris, les manifestants –10 000 selon les organisateurs, 5 000 selon la police – ont défilé sous une forêt de drapeaux palestiniens, aux cris de «Vive la Flottille !», «Gaza, Paris est avec toi !», «Cessez-le-feu immédiat !».
R. I.