Guterres demande le retrait de l'armée sioniste du Liban "dans le délai convenu"
BEYROUTH - Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a demandé le retrait des forces sionistes du territoire libanais "dans le délai convenu", lors de sa visite entamée vendredi dans ce pays. "Il est désormais essentiel de voir le retrait des forces (sionistes) du territoire libanais et le déploiement simultané des forces armées libanaises à travers le sud du Liban dans le délai convenu", a déclaré M. Guterres, lors d'une conférence de presse organisée samedi à Beyrouth pour conclure sa visite de deux jours dans le pays. "La souveraineté et l'intégrité territoriale du Liban doivent être respectées", a-t-il ajouté. Le secrétaire général a également souligné l'importance de mettre en œuvre la résolution 1701 de l'ONU dans toutes ses dimensions. "Les Nations unies, y compris par le biais du coordinateur spécial des Nations unies pour le Liban et la FINUL, s'engagent à soutenir les parties prenantes à maintenir leurs obligations en vertu de la résolution 1701 et à s'assurer que la cessation des hostilités perdure", a-t-il encore noté.
BEYROUTH - Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a demandé le retrait des forces sionistes du territoire libanais "dans le délai convenu", lors de sa visite entamée vendredi dans ce pays.
"Il est désormais essentiel de voir le retrait des forces (sionistes) du territoire libanais et le déploiement simultané des forces armées libanaises à travers le sud du Liban dans le délai convenu", a déclaré M. Guterres, lors d'une conférence de presse organisée samedi à Beyrouth pour conclure sa visite de deux jours dans le pays.
"La souveraineté et l'intégrité territoriale du Liban doivent être respectées", a-t-il ajouté.
Le secrétaire général a également souligné l'importance de mettre en œuvre la résolution 1701 de l'ONU dans toutes ses dimensions.
"Les Nations unies, y compris par le biais du coordinateur spécial des Nations unies pour le Liban et la FINUL, s'engagent à soutenir les parties prenantes à maintenir leurs obligations en vertu de la résolution 1701 et à s'assurer que la cessation des hostilités perdure", a-t-il encore noté.