Journée des enfants victimes innocentes de l'agression: Ghaza, l'innocence fauchée par la barbarie sioniste
ALGER - L'entité sioniste persiste à commettre les crimes les plus atroces et les massacres les plus horribles à l'encontre du peuple palestinien à Ghaza, y compris les enfants innocents, qui font les frais de sa barbarie depuis le 7 octobre 2023. Des enfants sont tués, brûlés vifs, affamés jusqu'à la mort, ou emprisonnés dans des geôles transformées en lieux de torture et de sévices. Alors que le monde commémore mercredi la Journée internationale des enfants victimes innocentes de l'agression, la machine à tuer sioniste continue de cibler ces corps fragiles avec toutes sortes d'armes destructrices et interdites internationalement, dans la bande de Ghaza, sans aucun égard pour leur jeune âge ou leur innocence. La guerre dévastatrice menée par l'entité sioniste a causé la mort en martyrs d'au moins 16.854 enfants, soit 31,5% du nombre total de martyrs enregistrés. Le Bureau gouvernemental des médias de Ghaza a révélé qu'un enfant tombe en martyr toutes les 40 minutes depuis le début de l'agression génocidaire sioniste contre l'enclave palestinienne. Parmi les enfants tombés en martyrs, 37% (6.235) avaient entre 6 et 12 ans, tandis que 31,1% (5.241) étaient des adolescents âgés de 13 à 18 ans. Le bureau a indiqué que 932 martyrs avaient moins d'un an et que 356 enfants étaient nés et tombés en martyrs pendant l'agression sioniste, tandis que 60 enfants sont morts de malnutrition, victimes de la politique de famine imposée par l'occupant sioniste pour punir les survivants de Ghaza. Dans ce contexte, le président de la Commission palestinienne indépendante des droits de l'Homme (CPIDH), Jamil Sarhan, a déclaré, à l'APS, que les violations et crimes commis par les forces d'occupation sionistes contre les enfants prennent diverses formes. Il s'agit d'"assassinats directs par missiles et frappes aériennes et du recours à l'intelligence artificielle via des drones et quadricoptères", qui tirent sur tout ce qui bouge, y compris les enfants, sans distinction, a-t-il indiqué. Jamil Sarhan a souligné que la CPIDH avait documenté "d'autres schémas et formes de crimes sionistes contre les enfants, notamment des cas de brûlures par bombes incendiaires ayant réduit les victimes en cendres au point que de nombreuses familles ne peuvent identifier leurs enfants", et une "politique de famine et de privation d'eau imposée à l'ensemble de la bande de Ghaza". Il a notamment insisté sur le fait que ces violations ne sont pas des actes isolés ou de petite ampleur, mais dépassent tout entendement et se sont poursuivies sans relâche depuis le premier jour de l'agression. Le président de la CPIDH a indiqué, à ce titre, que ces "opérations systématiques ciblant le plus grand nombre d'enfants" nécessitaient une "action urgente du Comité des droits de l'enfant de l'ONU, du Conseil des droits de l'Homme et de toutes les instances internationales" concernées. Concernant les mécanismes de reddition des comptes, Sarhan a expliqué que l'entité sioniste était consciente de l'inexistence de mécanismes internationaux permettant aux victimes de faire valoir leurs droits et de l'obliger à mettre fin à son agression génocidaire contre les enfants, regrettant le fait que l'absence de mesures internationales contraignantes encourage les forces d'occupation à poursuivre leurs crimes en toute impunité. Il a, en outre, fait savoir que la CPIDH avait adressé des "appels clairs et explicites" à tous les organismes et institutions, expliquant à chaque fois la profondeur de la crise et l'ampleur des crimes et violations des droits de l'enfant commises par l'entité sioniste dans la bande de Ghaza. Enfin, M. Sarhan a appelé la communauté internationale à inscrire l'entité sioniste sur la liste noire des Nations unies pour ses crimes contre les enfants.


ALGER - L'entité sioniste persiste à commettre les crimes les plus atroces et les massacres les plus horribles à l'encontre du peuple palestinien à Ghaza, y compris les enfants innocents, qui font les frais de sa barbarie depuis le 7 octobre 2023.
Des enfants sont tués, brûlés vifs, affamés jusqu'à la mort, ou emprisonnés dans des geôles transformées en lieux de torture et de sévices.
Alors que le monde commémore mercredi la Journée internationale des enfants victimes innocentes de l'agression, la machine à tuer sioniste continue de cibler ces corps fragiles avec toutes sortes d'armes destructrices et interdites internationalement, dans la bande de Ghaza, sans aucun égard pour leur jeune âge ou leur innocence.
La guerre dévastatrice menée par l'entité sioniste a causé la mort en martyrs d'au moins 16.854 enfants, soit 31,5% du nombre total de martyrs enregistrés. Le Bureau gouvernemental des médias de Ghaza a révélé qu'un enfant tombe en martyr toutes les 40 minutes depuis le début de l'agression génocidaire sioniste contre l'enclave palestinienne. Parmi les enfants tombés en martyrs, 37% (6.235) avaient entre 6 et 12 ans, tandis que 31,1% (5.241) étaient des adolescents âgés de 13 à 18 ans.
Le bureau a indiqué que 932 martyrs avaient moins d'un an et que 356 enfants étaient nés et tombés en martyrs pendant l'agression sioniste, tandis que 60 enfants sont morts de malnutrition, victimes de la politique de famine imposée par l'occupant sioniste pour punir les survivants de Ghaza.
Dans ce contexte, le président de la Commission palestinienne indépendante des droits de l'Homme (CPIDH), Jamil Sarhan, a déclaré, à l'APS, que les violations et crimes commis par les forces d'occupation sionistes contre les enfants prennent diverses formes.
Il s'agit d'"assassinats directs par missiles et frappes aériennes et du recours à l'intelligence artificielle via des drones et quadricoptères", qui tirent sur tout ce qui bouge, y compris les enfants, sans distinction, a-t-il indiqué.
Jamil Sarhan a souligné que la CPIDH avait documenté "d'autres schémas et formes de crimes sionistes contre les enfants, notamment des cas de brûlures par bombes incendiaires ayant réduit les victimes en cendres au point que de nombreuses familles ne peuvent identifier leurs enfants", et une "politique de famine et de privation d'eau imposée à l'ensemble de la bande de Ghaza".
Il a notamment insisté sur le fait que ces violations ne sont pas des actes isolés ou de petite ampleur, mais dépassent tout entendement et se sont poursuivies sans relâche depuis le premier jour de l'agression.
Le président de la CPIDH a indiqué, à ce titre, que ces "opérations systématiques ciblant le plus grand nombre d'enfants" nécessitaient une "action urgente du Comité des droits de l'enfant de l'ONU, du Conseil des droits de l'Homme et de toutes les instances internationales" concernées.
Concernant les mécanismes de reddition des comptes, Sarhan a expliqué que l'entité sioniste était consciente de l'inexistence de mécanismes internationaux permettant aux victimes de faire valoir leurs droits et de l'obliger à mettre fin à son agression génocidaire contre les enfants, regrettant le fait que l'absence de mesures internationales contraignantes encourage les forces d'occupation à poursuivre leurs crimes en toute impunité.
Il a, en outre, fait savoir que la CPIDH avait adressé des "appels clairs et explicites" à tous les organismes et institutions, expliquant à chaque fois la profondeur de la crise et l'ampleur des crimes et violations des droits de l'enfant commises par l'entité sioniste dans la bande de Ghaza.
Enfin, M. Sarhan a appelé la communauté internationale à inscrire l'entité sioniste sur la liste noire des Nations unies pour ses crimes contre les enfants.