Toute solution en dehors du cadre de l'établissement d'un Etat palestinien sur les frontières de 1967 est une perte de temps
ALGER - Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a affirmé, jeudi à Alger, que ce qui se passe en Palestine, pays frère, et à Ghaza, en particulier, est "un massacre et un génocide", soulignant que toute solution en dehors du cadre de l'établissement d'un Etat palestinien sur les frontières de 1967 est "une perte de temps". Intervenant lors de la première séance après avoir présidé la cérémonie d'ouverture de la 4e édition de la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025) au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal, le président de la République a réaffirmé la position "constante" de l'Algérie en faveur de la cause palestinienne, soulignant que "ce qui se passe en Cisjordanie et à Ghaza, en particulier, est un vrai massacre et un génocide". Suite à l'intervention du président tunisien, M. Kaïs Saïed, lors de cette séance, le président de la République a indiqué qu'"il existe un consensus entre tous les présidents africains sur le fait que la solution au Moyen-Orient doit passer par l'établissement de l'Etat de Palestine sur les frontières de 1967 et que toute autre option est une perte de temps".


ALGER - Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a affirmé, jeudi à Alger, que ce qui se passe en Palestine, pays frère, et à Ghaza, en particulier, est "un massacre et un génocide", soulignant que toute solution en dehors du cadre de l'établissement d'un Etat palestinien sur les frontières de 1967 est "une perte de temps".
Intervenant lors de la première séance après avoir présidé la cérémonie d'ouverture de la 4e édition de la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025) au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal, le président de la République a réaffirmé la position "constante" de l'Algérie en faveur de la cause palestinienne, soulignant que "ce qui se passe en Cisjordanie et à Ghaza, en particulier, est un vrai massacre et un génocide".
Suite à l'intervention du président tunisien, M. Kaïs Saïed, lors de cette séance, le président de la République a indiqué qu'"il existe un consensus entre tous les présidents africains sur le fait que la solution au Moyen-Orient doit passer par l'établissement de l'Etat de Palestine sur les frontières de 1967 et que toute autre option est une perte de temps".