Réoccupation totale de Ghaza: l’OCI exprime son ferme rejet du plan de l'entité sioniste
DJEDDAH (Arabie saoudite) - Les ministres des Affaires étrangères des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), réunis lundi à Djeddah en session extraordinaire en vue d'examiner l’agression sioniste continue contre le peuple palestinien, ont exprimé leurs rejet et ferme condamnation du plan de l'entité sioniste visant à réoccuper totalement la bande de Ghaza. Ces projets de l'entité sioniste sont "une escalade grave et inacceptable, une tentative de consolider une occupation illégale et d’imposer un fait accompli par la force dans le cadre de démarches contraires au droit international et en violation flagrante du droit international humanitaire, des droits humains, des résolutions pertinentes de la légalité internationale, ainsi que de l’avis consultatif et des mesures provisoires ordonnées par la Cour internationale de justice", ont-ils souligné dans une déclaration adoptée au terme de la réunion qui a vu la participation du ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf. L'entité sioniste, puissance occupante, "est pleinement responsable des crimes de génocide, de la catastrophe humanitaire sans précédent et de la famine qui sévit dans la bande de Ghaza", a ajouté la déclaration, exigeant "l'ouverture de tous les points de passage et l’autorisation immédiate et inconditionnelle d’entrée de l’aide humanitaire en quantité suffisante, tout en garantissant la liberté d’action des agences de secours et des organisations internationales et humanitaires, en premier lieu l’UNRWA". Appelant au respect du droit international humanitaire, du droit international relatif aux droits humains et des résolutions de l’ONU, la déclaration souligne "l’importance d’une réaction internationale responsable face au constat du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), adopté par les Nations unies, qui a confirmé officiellement pour la première fois l’existence d’une famine à Ghaza". Le texte rappelle, par ailleurs, que "la paix juste, durable et globale ne peut être atteinte que par la mise en œuvre de la solution à deux Etats, fondée sur la fin de l’occupation coloniale et garantissant l’établissement d’un Etat palestinien indépendant et souverain sur les frontières du 4 juin 1967, avec El Qods-Est pour capitale".


DJEDDAH (Arabie saoudite) - Les ministres des Affaires étrangères des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), réunis lundi à Djeddah en session extraordinaire en vue d'examiner l’agression sioniste continue contre le peuple palestinien, ont exprimé leurs rejet et ferme condamnation du plan de l'entité sioniste visant à réoccuper totalement la bande de Ghaza.
Ces projets de l'entité sioniste sont "une escalade grave et inacceptable, une tentative de consolider une occupation illégale et d’imposer un fait accompli par la force dans le cadre de démarches contraires au droit international et en violation flagrante du droit international humanitaire, des droits humains, des résolutions pertinentes de la légalité internationale, ainsi que de l’avis consultatif et des mesures provisoires ordonnées par la Cour internationale de justice", ont-ils souligné dans une déclaration adoptée au terme de la réunion qui a vu la participation du ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf.
L'entité sioniste, puissance occupante, "est pleinement responsable des crimes de génocide, de la catastrophe humanitaire sans précédent et de la famine qui sévit dans la bande de Ghaza", a ajouté la déclaration, exigeant "l'ouverture de tous les points de passage et l’autorisation immédiate et inconditionnelle d’entrée de l’aide humanitaire en quantité suffisante, tout en garantissant la liberté d’action des agences de secours et des organisations internationales et humanitaires, en premier lieu l’UNRWA".
Appelant au respect du droit international humanitaire, du droit international relatif aux droits humains et des résolutions de l’ONU, la déclaration souligne "l’importance d’une réaction internationale responsable face au constat du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), adopté par les Nations unies, qui a confirmé officiellement pour la première fois l’existence d’une famine à Ghaza".
Le texte rappelle, par ailleurs, que "la paix juste, durable et globale ne peut être atteinte que par la mise en œuvre de la solution à deux Etats, fondée sur la fin de l’occupation coloniale et garantissant l’établissement d’un Etat palestinien indépendant et souverain sur les frontières du 4 juin 1967, avec El Qods-Est pour capitale".