Après l’Aïd et l’appel à la prière : Azoulay interdit le prénom Mohamed au Maroc

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Juil 1, 2025 - 08:44
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Après l’Aïd et l’appel à la prière : Azoulay interdit le prénom Mohamed au Maroc

Par Kamel M. – L’israélisation rampante du Maroc ne se limite plus aux aspects économiques, sociaux et culturels, mais s’étend désormais à la religion musulmane. Les Marocains ont, en effet, été stupéfiés d’apprendre une nouvelle décision passée sous silence par le Makhzen, qui intervient au lendemain de l’interdiction du sacrifice de l’Aïd et de l’appel à la prière de l’aube, en attendant d’autres prohibitions. Les parents dont le foyer vient d’être égayé par la naissance d’un garçon se sont vu empêcher de prénommer leur enfant «Mohamed» par la mairie.

Cette nouvelle injonction, qui n’a été publiée dans aucun support officiel marocain, et qui donc a été prise en toute illégalité et en toute clandestinité, est l’œuvre de la cinquième colonne israélienne au Maroc, incarnée depuis plusieurs décennies par André Azoulay, véritable monarque et néanmoins gouverneur général de la France dans ce royaume fantoche, excroissance créée à partir de territoires annexés au sultanat de Marrakech par le maréchal Lyautey, dans les années 1920.

C’est que la soumission du Makhzen à l’entité sioniste ne date pas d’hier et la signature récente des Accords d’Abraham n’est que le continuum d’une longue soumission de ce territoire à Israël dès sa création dans les années 1940 par l’empire britannique et la migration massive des juifs marocains pour peupler ce qui allait devenir l’Israël actuel, composé d’une majorité de sépharades qui n’ont jamais abandonné leur allégeance au roi du Maroc. Ces Israélo-Marocains constituant, du reste, l’essentiel de l’armée israélienne qui massacre femmes et enfants à Gaza.

Quelle nouvelle mesure André Azoulay prépare-t-il à la communauté musulmane au Maroc, majoritaire en nombre mais sans aucun pouvoir de décision ? Une communauté contrainte par la force de se prosterner devant un souverain fictif et de lui obéir au doigt et à l’œil, jusqu’à accepter toutes les mesures qui le relèguent au rang de citoyens de seconde zone, privés du peu de droits dont ils semblaient encore jouir, avant le retour massif des Marocains installés en Israël, accaparant des terres et des maisons dont ils considèrent qu’elles leurs reviennent de droit.

Plus grave, André Azoulay a lancé une campagne visant à trouver des liens filiaux de la famille «régnante» avec des ascendants de confession juive, balayant ainsi le long mensonge de la descendance de la dynastie «royale» du prophète Mohamed (QSSL). Un mythe que les fondateurs du Maroc artificiel actuel ont inculqué aux Marocains – dans leur écrasante majorité incultes – pour les empêcher de se soulever contre le régime en place, en leur faisant croire que détrôner le roi reviendrait à profaner l’islam.

K. M.

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