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Déplacement forcé des Palestiniens: l'ONU met en garde contre un "nettoyage ethnique" en Cisjordanie occupée
GENEVE - Les Nations Unies ont averti que les déplacements massifs en Cisjordanie occupée avaient atteint des niveaux sans précédent depuis le début de l'occupation sioniste, mettant en garde contre un "nettoyage ethnique". L'ONU a indiqué que l'agression sioniste, lancée en janvier dans le nord de la Cisjordanie occupée, avait déplacé des dizaines de milliers de Palestiniens, faisant craindre un éventuel "nettoyage ethnique". La porte-parole de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), Juliet Touma, citée par l'agence palestinienne de presse, Wafa, a indiqué que cette agression militaire sioniste "est la plus longue depuis la deuxième Intifada" au début des années 2000. Elle a déclaré aux journalistes à Genève, par liaison vidéo depuis la Jordanie, que la situation actuelle "affecte de nombreux camps de réfugiés dans la région et provoque le plus important déplacement de population palestinienne en Cisjordanie occupée depuis 1967". Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme a, pour sa part, averti que les déplacements massifs forcés par l'occupation pourraient s'apparenter à un "nettoyage ethnique". Depuis le début de l'agression sioniste contre les gouvernorats du nord de la Cisjordanie occupée en janvier, plus précisément Jénine et Tulkarem, "environ 30.000 Palestiniens sont toujours déplacés par force", selon le porte-parole de la Commission des droits de l'homme, Thamin al-Khitan. Au cours de la même période, les forces d'occupation ont émis des ordres de démolition pour environ 1.400 maisons palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie occupée, qualifiant ces chiffres d'"alarmants".
GENEVE - Les Nations Unies ont averti que les déplacements massifs en Cisjordanie occupée avaient atteint des niveaux sans précédent depuis le début de l'occupation sioniste, mettant en garde contre un "nettoyage ethnique".
L'ONU a indiqué que l'agression sioniste, lancée en janvier dans le nord de la Cisjordanie occupée, avait déplacé des dizaines de milliers de Palestiniens, faisant craindre un éventuel "nettoyage ethnique".
La porte-parole de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), Juliet Touma, citée par l'agence palestinienne de presse, Wafa, a indiqué que cette agression militaire sioniste "est la plus longue depuis la deuxième Intifada" au début des années 2000.
Elle a déclaré aux journalistes à Genève, par liaison vidéo depuis la Jordanie, que la situation actuelle "affecte de nombreux camps de réfugiés dans la région et provoque le plus important déplacement de population palestinienne en Cisjordanie occupée depuis 1967".
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme a, pour sa part, averti que les déplacements massifs forcés par l'occupation pourraient s'apparenter à un "nettoyage ethnique".
Depuis le début de l'agression sioniste contre les gouvernorats du nord de la Cisjordanie occupée en janvier, plus précisément Jénine et Tulkarem, "environ 30.000 Palestiniens sont toujours déplacés par force", selon le porte-parole de la Commission des droits de l'homme, Thamin al-Khitan.
Au cours de la même période, les forces d'occupation ont émis des ordres de démolition pour environ 1.400 maisons palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie occupée, qualifiant ces chiffres d'"alarmants".
