Le MAE palestinien interpelle la communauté internationale sur les détenus palestiniens dans les geôles sionistes
RAMALLAH (Palestine occupée) - Le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés a appelé jeudi la communauté internationale à assumer ses responsabilités morales et juridiques envers les détenus palestiniens dans les prisons sionistes, à l'occasion de la Journée du prisonnier palestinien, le 17 avril. Dans un communiqué relayé par l'agence de presse palestinienne Wafa, le ministère palestinien a déclaré que "la question des détenus représente l'un des problèmes humanitaires et nationaux les plus urgents et incarne un exemple flagrant des politiques répressives de l'occupation, qui violent systématiquement les règles du droit international humanitaire, en particulier les Conventions de Genève, et le droit international des droits de l'Homme". Et de souligner que "les prisons de l'occupation ne sont pas seulement un outil de répression légale, mais aussi un outil d'intimidation et un moyen d'affaiblir le tissu social palestinien et de cibler sa résilience". "Ces pratiques comprennent le refus de visites aux détenus, l'isolement cellulaire prolongé et les punitions collectives à leur encontre et à l'encontre de leurs familles. Ce qu'ils vivent n'est pas seulement une violation de la loi, mais aussi une souffrance humaine quotidienne, pratiquée sous les yeux du monde qui reste silencieux", ajoute le ministère. Le ministère des Affaires étrangères a, en outre, appelé la communauté internationale, en particulier les Hautes parties contractantes aux Conventions de Genève, à "briser le mur du silence, à prendre des mesures immédiates pour protéger les détenus et à tenir la puissance occupante, responsable de ces crimes en cours". Le ministère des Affaires étrangères a également appelé à la fin de la politique de détention administrative et à ce que le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ait un accès immédiat et régulier aux prisons pour inspecter les conditions de détention, conformément aux accords pertinents. La Journée du prisonnier palestinien est commémorée le 17 avril, jour où le premier prisonnier a été libéré (le 17 avril 1974). Elle permet au peuple palestinien et aux militants de la justice et de la paix à travers le monde d'exprimer leur soutien à ces hommes, femmes et enfants aussi, qui sont au cœur de la résistance à l'occupation sioniste. Cette journée de solidarité vise aussi à faire pression sur l'entité sioniste pour obtenir une libération immédiate et sans condition de tous les prisonniers palestiniens détenus dans les geôles de l'occupation.

RAMALLAH (Palestine occupée) - Le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés a appelé jeudi la communauté internationale à assumer ses responsabilités morales et juridiques envers les détenus palestiniens dans les prisons sionistes, à l'occasion de la Journée du prisonnier palestinien, le 17 avril.
Dans un communiqué relayé par l'agence de presse palestinienne Wafa, le ministère palestinien a déclaré que "la question des détenus représente l'un des problèmes humanitaires et nationaux les plus urgents et incarne un exemple flagrant des politiques répressives de l'occupation, qui violent systématiquement les règles du droit international humanitaire, en particulier les Conventions de Genève, et le droit international des droits de l'Homme".
Et de souligner que "les prisons de l'occupation ne sont pas seulement un outil de répression légale, mais aussi un outil d'intimidation et un moyen d'affaiblir le tissu social palestinien et de cibler sa résilience".
"Ces pratiques comprennent le refus de visites aux détenus, l'isolement cellulaire prolongé et les punitions collectives à leur encontre et à l'encontre de leurs familles. Ce qu'ils vivent n'est pas seulement une violation de la loi, mais aussi une souffrance humaine quotidienne, pratiquée sous les yeux du monde qui reste silencieux", ajoute le ministère.
Le ministère des Affaires étrangères a, en outre, appelé la communauté internationale, en particulier les Hautes parties contractantes aux Conventions de Genève, à "briser le mur du silence, à prendre des mesures immédiates pour protéger les détenus et à tenir la puissance occupante, responsable de ces crimes en cours".
Le ministère des Affaires étrangères a également appelé à la fin de la politique de détention administrative et à ce que le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ait un accès immédiat et régulier aux prisons pour inspecter les conditions de détention, conformément aux accords pertinents.
La Journée du prisonnier palestinien est commémorée le 17 avril, jour où le premier prisonnier a été libéré (le 17 avril 1974). Elle permet au peuple palestinien et aux militants de la justice et de la paix à travers le monde d'exprimer leur soutien à ces hommes, femmes et enfants aussi, qui sont au cœur de la résistance à l'occupation sioniste.
Cette journée de solidarité vise aussi à faire pression sur l'entité sioniste pour obtenir une libération immédiate et sans condition de tous les prisonniers palestiniens détenus dans les geôles de l'occupation.