Le septième art fait son cinéma
Pas plus loin que la semaine dernière, Alger a abrité les assises du cinéma en vue d’insuffler au septième art algérien un nouvel envol, à peu près le même que celui qu’elle avait connu, cinq décennies plus tôt, avec l’obtention, au profit de l’Algérie, de la palme d’or au Festival de Cannes de 1975 pour Chronique des années de braise de Lakhdar Hamina et l’Oscar du meilleur film étranger, en 1969, pour Z de Costa-Gavras.
Pas plus loin que la semaine dernière, Alger a abrité les assises du cinéma en vue d’insuffler au septième art algérien un nouvel envol, à peu près le même que celui qu’elle avait connu, cinq décennies plus tôt, avec l’obtention, au profit de l’Algérie, de la palme d’or au Festival de Cannes de 1975 pour Chronique des années de braise de Lakhdar Hamina et l’Oscar du meilleur film étranger, en 1969, pour Z de Costa-Gavras.