Santé : nécessité d'établir un diagnostic précoce pour mieux traiter la maladie du Lupus
ALGER - Les participants à une journée de formation médicale continue sur la maladie du lupus ont souligné, dimanche à Alger, la nécessité de procéder à un diagnostic précoce afin de mieux traiter cette pathologie auto-immune chronique généralement non curable. Intervenant au cours de cette Journée, le chef de servie d'immunologie au Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Beni Messous, Pr Réda Djidjik, a expliqué qu'il s'agit d'"une pathologie auto-immune chronique, évoluant par poussées et phases de rémission, généralement non curable, d'où l'importance d'établir un diagnostic précoce dès l'apparition des premiers signes d'alerte". Il a ajouté que le lupus est une pathologie "inflammatoire systémique, se manifestant souvent par des lésions cutanées ou des douleurs articulaires, mais également pulmonaires, rénales, cardiaques et neurologiques", relevant que le protocole thérapeutique, dont des biothérapies, permet de calmer les inflammations et d'allonger les périodes de rémission des patients, d'autant plus que certains traitements sont plus efficaces quand ils sont entamés plus tôt. Toutefois, il a fait observer qu'"aujourd'hui, l'amélioration des techniques de diagnostic précoce permet une meilleure compréhension de cette pathologie qui affecte davantage les femmes et ce, à cause de la conjugaison de nombreux facteurs génétiques et environnementaux". Au cours de cette journée, plusieurs thèmes liés à cette pathologie ont été abordés par les intervenants dans leurs communications respectives, notamment le lupus chez l'enfant, le lupus cutané et les risques cardio-vasculaires ainsi que l'expérience des laboratoires du CHU de Beni Messous dans le traitement néphropathie lupique. A noter que cette rencontre scientifique a été organisée conjointement par l'Académie algérienne d'allergologie et d'immunologie clinique (AAAIC) et la Société algérienne de pneumologie (SAP), à l'occasion de la Journée mondiale du Lupus, célébrée le 10 mai de chaque année.
ALGER - Les participants à une journée de formation médicale continue sur la maladie du lupus ont souligné, dimanche à Alger, la nécessité de procéder à un diagnostic précoce afin de mieux traiter cette pathologie auto-immune chronique généralement non curable.
Intervenant au cours de cette Journée, le chef de servie d'immunologie au Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Beni Messous, Pr Réda Djidjik, a expliqué qu'il s'agit d'"une pathologie auto-immune chronique, évoluant par poussées et phases de rémission, généralement non curable, d'où l'importance d'établir un diagnostic précoce dès l'apparition des premiers signes d'alerte".
Il a ajouté que le lupus est une pathologie "inflammatoire systémique, se manifestant souvent par des lésions cutanées ou des douleurs articulaires, mais également pulmonaires, rénales, cardiaques et neurologiques", relevant que le protocole thérapeutique, dont des biothérapies, permet de calmer les inflammations et d'allonger les périodes de rémission des patients, d'autant plus que certains traitements sont plus efficaces quand ils sont entamés plus tôt.
Toutefois, il a fait observer qu'"aujourd'hui, l'amélioration des techniques de diagnostic précoce permet une meilleure compréhension de cette pathologie qui affecte davantage les femmes et ce, à cause de la conjugaison de nombreux facteurs génétiques et environnementaux". Au cours de cette journée, plusieurs thèmes liés à cette pathologie ont été abordés par les intervenants dans leurs communications respectives, notamment le lupus chez l'enfant, le lupus cutané et les risques cardio-vasculaires ainsi que l'expérience des laboratoires du CHU de Beni Messous dans le traitement néphropathie lupique.
A noter que cette rencontre scientifique a été organisée conjointement par l'Académie algérienne d'allergologie et d'immunologie clinique (AAAIC) et la Société algérienne de pneumologie (SAP), à l'occasion de la Journée mondiale du Lupus, célébrée le 10 mai de chaque année.
