Journée africaine de lutte contre la corruption : Mousserati réaffirme l'engagement de l'Algérie dans la lutte contre la corruption et la consécration de la transparence
ALGER- La présidente de la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, Mme Salima Mousserati, a réaffirmé, dimanche à Alger, l'engagement constant de l'Algérie, sous la conduite du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans la lutte contre la corruption et la consécration des principes de transparence. Lors de la cérémonie d'ouverture de la Journée africaine de lutte contre la corruption, Mme Mousserati a précisé que "l'organisation par l'Algérie de cette rencontre africaine illustre une nouvelle fois son engagement constant dans la lutte contre le fléau de la corruption et la consécration de la transparence, de la probité et de la bonne gouvernance", lesquels principes ont été "érigés en priorités par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dès son élection", a-t-elle rappelé. En effet, a-t-elle dit, le président de la République a fait de la récupération des avoirs "un devoir souverain non négociable, partant du principe que les deniers publics appartiennent au peuple et que toute tentative de détournement ou de transfert illicite de ces derniers constitue un crime à la fois contre l'Etat et contre la société". A cette occasion, la présidente de la Haute autorité de transparence a mis en lumière le rôle de l'Algérie dans la promotion des principes de prévention et de lutte contre la corruption en Afrique, à travers "plusieurs initiatives et une vision claire fondée sur le renforcement de la coopération régionale et l'échange d'expertises". De plus, "l'Algérie a veillé, depuis son adhésion à la Convention de l'Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption, à jouer un rôle clé dans l'activation des clauses de cet instrument, en contribuant au développement des cadres juridiques et institutionnels de lutte contre la corruption au niveau du continent", a-t-elle ajouté. L'Algérie veille également à "apporter un soutien constant à l'Association des autorités anti-corruption d'Afrique" et à "partager son expérience nationale en matière de transparence et de contrôle avec ses partenaires africains", partant de son "engagement à ancrer les principes de transparence et de bonne gouvernance et à construire un système africain unifié et efficace en matière de prévention et de lutte contre la corruption", a soutenu Mme Mousserati. Dans la foulée, elle a souligné "l'importance de poursuivre les efforts collectifs en Afrique, à travers le renforcement des mécanismes de coopération, notamment pour la récupération des fonds détournés, l'échange d'informations, l'entraide judiciaire et l'activation des accords bilatéraux et multilatéraux". La présidente de la Haute autorité de transparence a, par ailleurs, insisté sur la nécessité de consacrer "le principe d'une Afrique unie contre la corruption", à travers "l'ancrage de la culture de la probité au sein de ses sociétés". Elle a, par là même, appelé à "asseoir des mécanismes efficaces et innovants qui permettent aux pays africains de tracer et de récupérer les fonds détournés, en vue de financer des projets de développement au service des citoyens africains", estimant que de tels projets ont vocation à "rétablir la confiance dans les institutions de l'Etat".


ALGER- La présidente de la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, Mme Salima Mousserati, a réaffirmé, dimanche à Alger, l'engagement constant de l'Algérie, sous la conduite du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans la lutte contre la corruption et la consécration des principes de transparence.
Lors de la cérémonie d'ouverture de la Journée africaine de lutte contre la corruption, Mme Mousserati a précisé que "l'organisation par l'Algérie de cette rencontre africaine illustre une nouvelle fois son engagement constant dans la lutte contre le fléau de la corruption et la consécration de la transparence, de la probité et de la bonne gouvernance", lesquels principes ont été "érigés en priorités par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dès son élection", a-t-elle rappelé.
En effet, a-t-elle dit, le président de la République a fait de la récupération des avoirs "un devoir souverain non négociable, partant du principe que les deniers publics appartiennent au peuple et que toute tentative de détournement ou de transfert illicite de ces derniers constitue un crime à la fois contre l'Etat et contre la société".
A cette occasion, la présidente de la Haute autorité de transparence a mis en lumière le rôle de l'Algérie dans la promotion des principes de prévention et de lutte contre la corruption en Afrique, à travers "plusieurs initiatives et une vision claire fondée sur le renforcement de la coopération régionale et l'échange d'expertises".
De plus, "l'Algérie a veillé, depuis son adhésion à la Convention de l'Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption, à jouer un rôle clé dans l'activation des clauses de cet instrument, en contribuant au développement des cadres juridiques et institutionnels de lutte contre la corruption au niveau du continent", a-t-elle ajouté.
L'Algérie veille également à "apporter un soutien constant à l'Association des autorités anti-corruption d'Afrique" et à "partager son expérience nationale en matière de transparence et de contrôle avec ses partenaires africains", partant de son "engagement à ancrer les principes de transparence et de bonne gouvernance et à construire un système africain unifié et efficace en matière de prévention et de lutte contre la corruption", a soutenu Mme Mousserati.
Dans la foulée, elle a souligné "l'importance de poursuivre les efforts collectifs en Afrique, à travers le renforcement des mécanismes de coopération, notamment pour la récupération des fonds détournés, l'échange d'informations, l'entraide judiciaire et l'activation des accords bilatéraux et multilatéraux".
La présidente de la Haute autorité de transparence a, par ailleurs, insisté sur la nécessité de consacrer "le principe d'une Afrique unie contre la corruption", à travers "l'ancrage de la culture de la probité au sein de ses sociétés".
Elle a, par là même, appelé à "asseoir des mécanismes efficaces et innovants qui permettent aux pays africains de tracer et de récupérer les fonds détournés, en vue de financer des projets de développement au service des citoyens africains", estimant que de tels projets ont vocation à "rétablir la confiance dans les institutions de l'Etat".