Les Kabyles prêts pour le MCA

Ayant travaillé pendant plus de deux semaines, les poulains de Zinnbauer sont prêts, et pour ce match et pour la seconde manche du championnat. Cependant, le staff technique kabyle profitera des dernières heures pour effectuer les derniers réglages. Il mise sur la grinta et la détermination des joueurs pour réussir une belle opération. Ayant beaucoup travaillé avec le groupe, le coach Josef Zinnbauer attend maintenant la réaction de ses joueurs lors d’un match officiel. Il exige un bon résultat pour continuer la suite du parcours avec un bon moral.

Côté effectif, la JSK sera avec un effectif presque au grand complet pour ce Classico face au vieux club algérois qui se jouera ce jeudi. Même les nouveaux joueurs à savoir Mehdi Boudjemaâ, Réda Benchaâ et Ivan Itmatjev seront en principe convoqués pour cette confrontation. La disponibilité de tous les joueurs pour cette rencontre mettra, d’un côté, le coach Zinnbauer dans l’embarras du choix. De l’autre, il dispose de plus de choix pour composer l’équipe titulaire et désigner les joueurs qui resteront sur le banc. Le coach de la JSK fera jouer les joueurs les plus prêts à ses yeux pour tenter de gagner le match. Cependant, aucun joueur n’aura une place de titulaire éternel avec lui. Le coach allemand a rassuré ses poulains qu’il fera jouer les joueurs les plus prêts.

En plus des joueurs qui sont les acteurs, ce Classico entre le MCA et la JSK sera aussi le match des entraîneurs. En effet, une grande bataille tactique est attendue entre le coach du MCA Khaled Benyahia et celui de la JSK Josef Zinnbauer. Chacun a étudié les points forts et les points faibles de son adversaire et a affûté ses armes. Le coach du MCA veut gagner ce Classico après avoir remporté la Supercoupe face au CRB. Cependant, le coach allemand de la JSK, qui dirigera son premier match officiel, veut réussir ses débuts avec sa nouvelle équipe. Il a bien préparé ses capés pour réaliser un bon match jeudi soir au stade olympique. Reste à savoir maintenant qui aura le dernier mot, c’est ce qu’on saura au coup de sifflet final.