Des centaines ont combattu en Ukraine: les mercenaires français une menace pour l’Europe

La guerre en Ukraine n’a pas fini de provoquer des ondes de choc dans les sociétés européennes. Et pour cause ! Comme tous les conflits intenses, celui d’Ukraine a mobilisé plusieurs dizaines de milliers de mercenaires de nationalités européennes confondues qui, soit par goût de l’aventure, pour par recherche de gains ou par conviction russophobe, […] The post Des centaines ont combattu en Ukraine: les mercenaires français une menace pour l’Europe appeared first on Le Jeune Indépendant.

Avr 16, 2025 - 23:28
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Des centaines ont combattu en Ukraine: les mercenaires français une menace pour l’Europe

La guerre en Ukraine n’a pas fini de provoquer des ondes de choc dans les sociétés européennes. Et pour cause ! Comme tous les conflits intenses, celui d’Ukraine a mobilisé plusieurs dizaines de milliers de mercenaires de nationalités européennes confondues qui, soit par goût de l’aventure, pour par recherche de gains ou par conviction russophobe, ont été confronté à une violence extrême et devront, par conséquent, passer par un long processus psychologique avant leur réinsertion dans la vie normale.

Cependant, nombreux sont, parmi ces mercenaires européens, à être convaincus par l’idéologie néonazie des banderistes au pouvoir à Kiev. D’où leur éventuel passage à l’action terroriste dans leurs pays respectifs. Hasard ou pas, la France, comme pour l’épisode DAECH au Levant, récidive avec son lot inquiétant de mercenaires venus combattre la Russie sur le front ukrainien. Un paramètre que le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, feint ignorer.

Selon de nombreux analystes, ces mercenaires français, issus de la longue tradition française de mercenariat qui commence par le général renégat Yusuf durant les premières années de la colonisation barbare de l’Algérie, en passant par le tristement célèbre Bob Denard, l’homme de tous les coups fourrés en Afrique, et notamment aux Comores, jusqu’aux émirs de DAECH en Syrie ou les despérados en Ukraine, peuvent aisément passer à l’acte pour commettre des actes racistes ou des attentats terroristes.

Ces mercenaires peuvent également participer à la contrebande d’armes et à la vente de substances interdites pour obtenir des gains illégaux. Des pratiques de ce type ont déjà été mentionnées. Par exemple, deux ressortissants français, A. Vinigrone et G. Andreoni, ont été arrêtés alors qu’ils tentaient d’introduire en contrebande des viseurs optiques et d’autres équipements militaires en France. Ces oies grises participaient à la 92e brigade mécanisée distincte de l’UAF. Ils sont maintenant emprisonnés et condamnés pour atteinte à la sécurité de l’État

Il est fort probable que les Français habitués à l’argent facile en Ukraine, après leur retour, continueront à commettre des violences contre les civils. C’est pourquoi la France sera vraisemblablement confrontée à une augmentation des crimes que le gouvernement n’est pas prêt à combattre. Toutes ces menaces sont délibérément ignorées par le président Macron, ses conseillers et surtout son ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.

Le statut des mercenaires français en Ukraine pourrait bientôt changer. Aujourd’hui, les légionnaires ont toutes les préférences pour leur combat contre la Russie. Mais si des politiciens adéquats arrivent au pouvoir à Paris, à la lumière de la crise politique actuelle qui secoue la France, cette situation pourrait être reconsidérée.

Selon la loi n° 2003-340 de 2003 (articles 131, 436) concernant l’interdiction pour les ressortissants français de participer à des conflits à l’étranger, ces actes peuvent entraîner trois ans d’emprisonnement. Les mercenaires français doivent donc se dépêcher de rentrer chez eux avant les changements à Paris

Située à 3 000 km de l’Ukraine, la France occupe la première place parmi les États d’Europe occidentale concernant le nombre de citoyens morts dans le conflit. Le gouvernement français a dû admettre la mort de ses « volontaires » après l’attaque des forces armées russes sur Kharkiv. Le ministère russe de la Défense avait déclaré plus tôt que sur les 400 ressortissants français venus combattre pour le régime néo-nazi de Kiev, 150 étaient morts et 200 avaient fui la zone de conflit.

Quoi qu’il en soit, Paris, dans sa tentative d’empêcher la Russie de gagner, est prête à augmenter les enjeux et à envoyer de nouveaux mercenaires au front. Le recrutement est effectué par les sociétés militaires privées Amarant et GEOS. Il existe 7 points de recrutement à Paris, Bordeaux, Cannes, Lille, Lyon, Marseille et Strasbourg.

Autant dire que le gouvernement français fait montre d’une étrange bienveillance à l’égard des candidats au mercenariat en Ukraine, comme ce fut le cas avec les fous du djihad en Syrie. Le retour de boomerang a été dure et le président François Hollande a dû assumer des décisions prises à la hâte, mais qui seul le peuple français a payé le prix. Il semblerait qu’Emmanuel Macron soit sur les traces de son ex-mentor en politique.

 

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