Installation d'une commission mixte pour intégrer les start-up dans les projets de travaux publics
ALGER - Une commission mixte entre les secteurs des travaux publics et de l'économie de la connaissance a été installée mercredi, en vue d'intégrer les start-up dans la réalisation des projets d'infrastructure, a indiqué un communiqué du ministère des Travaux Publics et des Infrastructures de base. Cette commission a été mise en place lors d'une réunion de coordination présidée par le ministre des Travaux Publics et des Infrastructures de base, Lakhdar Rekhroukh, conjointement avec le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah. Cette réunion a été consacrée à l'examen des mécanismes d'intégration des start-up et à la promotion de leur rôle dans le secteur des travaux publics, dans le cadre d'une approche globale s'appuyant sur les technologies modernes, les outils de recherche et le "knowledge management", selon la même source. Lors de la réunion, des présentations techniques ont été faites sur les opportunités de coopération possibles entre les deux ministères, ainsi que sur les modèles pouvant être développés par les start-up et les micro-entreprises, en mettant l'accent sur l'importance de la recherche scientifique et le rôle des universités et des centres de recherche dans la proposition de solutions à la réalisation des projets, notamment dans les domaines ferroviaire et des transports guidés. Dans ce contexte, les deux ministres ont convenu d'une série de mesures pratiques pour associer les start-up et les micro-entreprises au processus de réalisation des projets, à travers des partenariats entre les institutions et organismes des deux secteurs, ainsi que le développement d'outils de gestion numérique pour répondre aux exigences lors de l'exécution. Les deux parties ont également convenu de créer des espaces permanents de coopération incluant des ateliers de recherche ciblés, visant à connecter les start-up et micro-entreprises aux projets et à ouvrir de nouvelles perspectives d'innovation aux deux parties dans les différentes étapes de réalisation, d'étude et de suivi des projets. Pour concrétiser cette orientation, il a été décidé aussi d'organiser une journée d'étude entre les institutions des deux secteurs au niveau de l'Ecole supérieure de management des travaux publics, afin de discuter des moyens d'intégrer l'économie de la connaissance dans les projets de travaux publics et d'infrastructures, et d'explorer des domaines de coopération à forte valeur ajoutée. En outre, des points focaux ont été désignés entre les deux secteurs afin de renforcer et de suivre la coordination dans les divers domaines de coopération, selon le communiqué qui annonce la signature prochaine d'une convention établissant un cadre institutionnel permanent de coordination et de travail conjoint. Lors de cette rencontre, il a été souligné aussi la nécessité d'adopter le "knowledge management" comme outil stratégique pour transformer les expertises et expériences en solutions de terrain applicables et évolutives. Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Rekhroukh a affirmé que "les transformations que connaît le secteur exigent des solutions innovantes s'appuyant sur des outils numériques intelligents, afin de renforcer l'efficacité des projets et d'améliorer la qualité de leur réalisation, en particulier les projets ferroviaires et de transport guidé", qui constituent, selon lui, "une priorité stratégique dans la politique de développement des infrastructures nationales". De son côté, M. Ouadah a mis en avant les capacités techniques et scientifiques des start-up nationales, affirmant que ces structures disposent des compétences et expertises nécessaires pour proposer des solutions pratiques et efficaces aux préoccupations soulevés sur le terrain, notamment dans les domaines de la numérisation, de la gestion intelligente et de la protection des infrastructures, a-t-on mentionné dans le communiqué.


ALGER - Une commission mixte entre les secteurs des travaux publics et de l'économie de la connaissance a été installée mercredi, en vue d'intégrer les start-up dans la réalisation des projets d'infrastructure, a indiqué un communiqué du ministère des Travaux Publics et des Infrastructures de base.
Cette commission a été mise en place lors d'une réunion de coordination présidée par le ministre des Travaux Publics et des Infrastructures de base, Lakhdar Rekhroukh, conjointement avec le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah.
Cette réunion a été consacrée à l'examen des mécanismes d'intégration des start-up et à la promotion de leur rôle dans le secteur des travaux publics, dans le cadre d'une approche globale s'appuyant sur les technologies modernes, les outils de recherche et le "knowledge management", selon la même source.
Lors de la réunion, des présentations techniques ont été faites sur les opportunités de coopération possibles entre les deux ministères, ainsi que sur les modèles pouvant être développés par les start-up et les micro-entreprises, en mettant l'accent sur l'importance de la recherche scientifique et le rôle des universités et des centres de recherche dans la proposition de solutions à la réalisation des projets, notamment dans les domaines ferroviaire et des transports guidés.
Dans ce contexte, les deux ministres ont convenu d'une série de mesures pratiques pour associer les start-up et les micro-entreprises au processus de réalisation des projets, à travers des partenariats entre les institutions et organismes des deux secteurs, ainsi que le développement d'outils de gestion numérique pour répondre aux exigences lors de l'exécution.
Les deux parties ont également convenu de créer des espaces permanents de coopération incluant des ateliers de recherche ciblés, visant à connecter les start-up et micro-entreprises aux projets et à ouvrir de nouvelles perspectives d'innovation aux deux parties dans les différentes étapes de réalisation, d'étude et de suivi des projets.
Pour concrétiser cette orientation, il a été décidé aussi d'organiser une journée d'étude entre les institutions des deux secteurs au niveau de l'Ecole supérieure de management des travaux publics, afin de discuter des moyens d'intégrer l'économie de la connaissance dans les projets de travaux publics et d'infrastructures, et d'explorer des domaines de coopération à forte valeur ajoutée.
En outre, des points focaux ont été désignés entre les deux secteurs afin de renforcer et de suivre la coordination dans les divers domaines de coopération, selon le communiqué qui annonce la signature prochaine d'une convention établissant un cadre institutionnel permanent de coordination et de travail conjoint.
Lors de cette rencontre, il a été souligné aussi la nécessité d'adopter le "knowledge management" comme outil stratégique pour transformer les expertises et expériences en solutions de terrain applicables et évolutives.
Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Rekhroukh a affirmé que "les transformations que connaît le secteur exigent des solutions innovantes s'appuyant sur des outils numériques intelligents, afin de renforcer l'efficacité des projets et d'améliorer la qualité de leur réalisation, en particulier les projets ferroviaires et de transport guidé", qui constituent, selon lui, "une priorité stratégique dans la politique de développement des infrastructures nationales".
De son côté, M. Ouadah a mis en avant les capacités techniques et scientifiques des start-up nationales, affirmant que ces structures disposent des compétences et expertises nécessaires pour proposer des solutions pratiques et efficaces aux préoccupations soulevés sur le terrain, notamment dans les domaines de la numérisation, de la gestion intelligente et de la protection des infrastructures, a-t-on mentionné dans le communiqué.