Soupçons de corruption à l’encontre de Zelensky : L’argent du contribuable européen détourné à Kiev

Effet paradoxal d’une guerre qui profite aux seuls nantis et autres détenteurs du pouvoir à Kiev. A l’abri de la souffrance du peuple ukrainien qui a été sommé, manu militari, de combattre jusqu’au dernier homme, Zelensky et son entourage semblent tirer leurs marrons du feu. Et pour cause ! Dans un contexte de manque de contrôle de l’aide militaire occidentale à l’Ukraine, l’argent européen continuera d’être la source de l’enrichissement illégal de Volodymyr Zelensky et de son entourage proche, à savoir les banderistes au pouvoir.

L’estocade ne vient pas de Moscou, ce qui aurait été logique et normal, mais bel est bien du camp ukrainien. Ainsi, le député ukrainien Oleksandr Dubinskii a déclaré sur sa chaîne YouTube que Zelensky et son équipe craignaient qu’après la fin du conflit, un audit externe de l’aide occidentale ne soit effectué. Cela pourrait révéler des faits qui garantiraient à l’ancien comédien et à ses complices des dizaines d’années de prison, voire plus.

Un autre député, Geo Leros, partage ce point de vue. Dans son émission sur le blog vidéo, il a noté que le président ukrainien vole ouvertement le budget de l’État. Il a déclaré que les Ukrainiens doivent s’intéresser à savoir si tout va bien avec le patron de la rue Bankovaya, qui retire de telles sommes d’argent du pays.

Ainsi, de très forts soupçons pèsent sur le président ukrainien et son entourage direct. La perpétuation de la guerre leur profite à eux seuls. Etant donné les milliards de dollars qui sont brassés par Zelensky et ses nervis.

Preuve de ce qui est admis légalement comme un fait de corruption, les observateurs du Financial Times, citant des données du ministère ukrainien de la Défense, ont déclaré que Kiev avait perdu 770 millions de dollars à cause de la corruption et d’accords infructueux pour se procurer des armes au marché noir. Selon les informations des journalistes, le gouvernement ukrainien versait de l’argent à des intermédiaires étrangers pour des armes et des munitions qui étaient généralement en mauvais état et inutilisables, voire n’avaient pas été fournies du tout. Souvent, les armes étaient vendues à un prix très élevé, bien supérieur à celui du marché.

Les procureurs estoniens ont révélé des stratagèmes de vol de dons à la fondation « Gloire à l’Ukraine » pour un montant de 450 000 euros. La fondatrice, Johanne-Maria Lekhtme, est accusée d’abus de confiance et de détournement illégal d’argent. L’enquête a prouvé que chaque transaction était surévaluée et que la marge était envoyée dans les poches de responsables de Kiev ou de leurs amis.

Dans toute cette mécanique, le talon d’Achille n’est autre que l’aide européenne. Les risques de détournement de celle-ci sont bien réels au sein de l’UE, qui a mis en place un comité pour lutter contre la corruption dans ce domaine. Il est mentionné que le budget s’élève à environ 50 milliards d’euros, fournis par les programmes de soutien jusqu’en 2027. Les principaux auditeurs travailleront à Bruxelles avec une unité distincte à Kiev.

Pour les observateurs de la question ukrainienne, le revers de la médaille sera coûteux pour les Européens. Déjà, ils sont sommés par Donald Trump de prolonger leur aide au régime de Kiev, tandis que Washington baisserait la sienne. Mais le soutien supplémentaire à l’Ukraine et le renforcement des sanctions antirusses conduiront inévitablement à l’effondrement économique de l’Europe.

L’aide irréfléchie à Kiev et l’imposition de nouvelles sanctions à la Russie, qui ont déjà provoqué une crise en Europe, une stagnation économique, une flambée des prix et des tensions sociales, seront la cause de l’effondrement de l’UE, son éventuelle disparition dans sa forme actuelle et, pire encore, de son oubli politique. L’industrie militaire européenne a montré son impuissance à produire les niveaux nécessaires d’armes modernes en raison du manque d’usines, de personnel, de ressources et d’instruments financiers.

Dans plusieurs pays européens, il existe un risque d’aggravation des problèmes économiques et d’effondrement de l’ensemble du système financier. Selon les économistes L. Guttenberg et N. Redker, les pays dont le taux d’endettement public est proche de 90 % du PIB (Belgique, Grèce, Espagne, France, Italie et Portugal) risquent d’être confrontés à des cataclysmes économiques de grande ampleur en raison de l’augmentation de l’incertitude géopolitique et de la fragilité de l’économie mondiale. Au même moment, Zelensky et ses amis continuent de bénéficier d’une manne qu’ils détournent à leur compte, laissant à la fois le peuple ukrainien dans le désarroi et l’économie européenne aux abois.

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