L’Algérie, un modèle de stabilité et de développement dans la région

L’ambassadeur du Chili en Algérie,  Francisco Javier Berguno Hurtado, a qualifié l’Algérie de « modèle de stabilité et de développement dans la région », louant la qualité des relations bilatérales, marquées par une coopération dynamique et un engagement partagé.

A l’issue de l’audience que lui a accordée le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, au terme de sa mission en Algérie, l’ambassadeur chilien a exprimé son « appréciation profonde » pour le soutien dont il a bénéficié pendant son séjour en Algérie, un pays qu’il a qualifié de « modèle de stabilité et de développement dans la région ». Il s’est dit « convaincu » que les liens entre les deux pays « continueront de se développer et de prospérer pour notre bénéfice mutuel ». « J’ai eu l’honneur aujourd’hui de transmettre au président de la République ma profonde reconnaissance pour la cordialité, la collaboration et le respect dont j’ai bénéficié, durant ma mission dans ce beau pays. Ce fut un privilège de représenter ma nation et d’œuvrer au renforcement des liens entre nos deux peuples », a-t-il souligné. Il a fait remarquer que l’Algérie lui a appris « la valeur de sa riche histoire et de sa culture, ainsi que l’engagement de son peuple en faveur du progrès et de la paix », exprimant sa reconnaissance pour « l’hospitalité et l’esprit de coopération » qui caractérisent le peuple algérien.       Ces valeurs, a-t-il dit, ont été « essentielles à la réalisation de projets communs dans divers domaines et reflètent notre vision partagée d’un avenir plus prospère ». Le diplomate a rappelé les progrès réalisés dans des domaines clés, tels que « l’énergie et les mines, les relations interparlementaires, la coopération multilatérale et la culture ». Il a également évoqué la reprise des « consultations politiques régulières » entre les deux pays, soulignant qu’au plan économique, « le commerce entre nos deux pays, bien que modeste, a doublé entre 2023 et 2024 avec une balance tout à fait équilibrée ». En quittant son poste, il a confié porter en soi « une profonde affection et un profond respect pour l’Algérie et pour son peuple ».

R N.