Le MAE palestinien condamne le massacre des "affamés" à Rafah et appelle à une action internationale urgente pour arrêter ces crimes
RAMALLAH (Cisjordanie occupée) - Le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés a condamné, samedi, les crimes de meurtres de masse visant les centres de distribution d’aide humanitaire dans la bande de Ghaza, dont le dernier en date est le massacre atroce perpétré par l’armée d'occupation sioniste au nord de Rafah, faisant des dizaines de martyrs et de blessés, a rapporté l'agence de presse Wafa. Dans un communiqué de presse, le ministère a estimé que ce crime constitue un nouvel épisode dans la série de meurtres délibérés visant plus de deux millions de citoyens dans la bande de Ghaza, par divers moyens, notamment les bombardements, la famine, la privation d’eau, l’interdiction d’accès aux soins et aux médicaments, dans une tentative d’imposer un déplacement forcé. Le ministère a affirmé qu’il poursuivait ses démarches auprès des Etats et des composantes de la communauté internationale pour faire cesser ces crimes, en tenant cette dernière responsable de son inaction et de son échec à protéger et sauver notre peuple. Il a appelé à imposer un arrêt immédiat du génocide, des déplacements forcés et de l’annexion.


RAMALLAH (Cisjordanie occupée) - Le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés a condamné, samedi, les crimes de meurtres de masse visant les centres de distribution d’aide humanitaire dans la bande de Ghaza, dont le dernier en date est le massacre atroce perpétré par l’armée d'occupation sioniste au nord de Rafah, faisant des dizaines de martyrs et de blessés, a rapporté l'agence de presse Wafa.
Dans un communiqué de presse, le ministère a estimé que ce crime constitue un nouvel épisode dans la série de meurtres délibérés visant plus de deux millions de citoyens dans la bande de Ghaza, par divers moyens, notamment les bombardements, la famine, la privation d’eau, l’interdiction d’accès aux soins et aux médicaments, dans une tentative d’imposer un déplacement forcé.
Le ministère a affirmé qu’il poursuivait ses démarches auprès des Etats et des composantes de la communauté internationale pour faire cesser ces crimes, en tenant cette dernière responsable de son inaction et de son échec à protéger et sauver notre peuple.
Il a appelé à imposer un arrêt immédiat du génocide, des déplacements forcés et de l’annexion.