Moussa Boukrif. Professeur des universités, directeur du laboratoire de recherche en management et techniques quantitatives, à l’université de Béjaïa : «Il est crucial de désenclaver les zones à fort potentiel oléicole»
Dans l’entretien accordé à El Watan, Moussa Boukrif, Professeur des universités, directeur du laboratoire de recherche en management et techniques quantitatives, à l’université de Béjaïa, évoque les freins qui empêchent l’émergence d’une industrie oléicole. «Malgré cette richesse, le secteur reste marqué par des méthodes archaïques. Ainsi, 85% des exploitations sont familiales et artisanales, avec des rendements moyens de 2,5 tonnes d’huile par hectare, bien en-deçà des standards tunisiens ou espagnols», note-t-il. Et de suggérer : «Il est également crucial de désenclaver les zones à fort potentiel oléicole, comme la Kabylie et les Hauts-Plateaux, en développant les infrastructures et en mettant en place des systèmes d’irrigation durables.»
Dans l’entretien accordé à El Watan, Moussa Boukrif, Professeur des universités, directeur du laboratoire de recherche en management et techniques quantitatives, à l’université de Béjaïa, évoque les freins qui empêchent l’émergence d’une industrie oléicole. «Malgré cette richesse, le secteur reste marqué par des méthodes archaïques. Ainsi, 85% des exploitations sont familiales et artisanales, avec des rendements moyens de 2,5 tonnes d’huile par hectare, bien en-deçà des standards tunisiens ou espagnols», note-t-il. Et de suggérer : «Il est également crucial de désenclaver les zones à fort potentiel oléicole, comme la Kabylie et les Hauts-Plateaux, en développant les infrastructures et en mettant en place des systèmes d’irrigation durables.»