Attaques contre le ministre de la Communication Les maitres-chanteurs à la manœuvre

Pourquoi les plumitifs de la désinformation et des Fake News s’attaquent-ils aux ministres de la République ? En panne d’idées, ces mercenaires passés maîtres dans l’art de la diffamation tentent au gré des montants des virements de leurs commanditaires de faire monter les enchères. Ce jeu malsain qui entache les responsables et les commis de l’Etat entre dans le cadre d’une tentative de déstabilisation et de surenchère dont les visées s’inscrivent dans le cadre des intérêts de lobbys occultes.

Cette fois-ci, c’est le ministre de la Communication qui fait les frais de cette machination machiavélique. Mohamed Meziane, dont le parcours professionnel est irréprochable que ce soit aux Affaires étrangères ou à la communication, fait face à une attaque en règle de la part des mercenaires du Net.

Ces derniers font naturellement fi des initiatives prises par le ministre de la Communication pour professionnaliser la profession et mettre au diapason une corporation longtemps laissée pour compte , afin de la hisser au niveau des enjeux et des défis auxquels fait face l’Algérie aujourd’hui.

Car, il s’agit bel et bien de défis majeurs qui nécessitent la mobilisation de tous et surtout de la corporation journalistique que le ministre de la Communication entreprend à consolider à travers des cycles de formation et de colloques tout aussi pratiques que pédagogiques.

Les détracteurs « cachés » de Mohamed Meziane ont eu recours au service d’un mercenaire connu sur la place d’Alger, et même de Paris, pour le « charger ». Abdou Semmar, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a commis une vidéo où il accuse le ministre purement et simplement d’être un « corrompu » qui aurait fait appel aux services de l’ancien directeur général du Centre international de presse (CIP), récemment relevé de ses fonctions, dans le cadre d’une opération de corruption à niveaux multiples.

Aucune preuve n’est apportée. Aucun fait n’est étayé. Aucune information recoupée. Et pourtant, tel est le B A B A du journalisme d’investigation, dont se prévaut le propriétaire du site Algérie Part. Abdou Semmar semble invité ses « followers » à le croire sur parole. Lui qui a défrayé la chronique, il y a plusieurs années , lorsqu’il se servait à la table des oligarques supporteurs des 4ème et surtout du 5ème mandat de l’ancien président déchu.

Tout le monde se souvient de la conversation téléphonique entre Abdou Semmar et l’oligarque Mahieddine Tahkout, aujourd’hui en prison, ou du quasi salaire versé mensuellement par l’ancien patron de la Sonatrach Abdelmoumen Ould Kaddour, lui aussi incarcéré, à hauteur de 30.000 euros/mois.

Que dire également d’une conversation téléphonique entre l’épouse d’Abdeslam Bouchouareb, ancien ministre de l’Industrie, condamné par contumace et Abdou Semmar, dans laquelle elle lui a promis de régler tous ses problèmes à condition de retirer un article qu’il avait publié sur le site Maghreb Intelligence.

Parce qu’il faut savoir que le patron d’Algérie Part collabore pour le compte du site marocain Maghreb Intelligence sous le pseudonyme d’Ilyes Laribi, un site connu pour son hostilité atavique à l’Algérie.

C’est donc d’un mercenaire qu’il s’agit, un agent subversif qui se drape des oripeaux du professionnalisme factice. Ainsi, c’est l’indécence et la voyoucratie qui s’expriment dans tous leurs attributs dans des « live » qui ressemblent à des séances d’hystérie. C’est avec un air renfrogné, un visage rébarbatif, et des cheveux hirsutes qu’il s’adonne à ses délires cet insignifiant bouché à l’émeri.

Cette nullité du journalisme de dimension cosmique qui s’autoproclame journaliste d’investigation, alors qu’il excelle dans l’invective action. L’attaque gratuite contre le ministre de la Communication, sans preuves ni documents, est réfutée globalement et dans le détail par la lettre adressée à Mohamed Meziane par la seconde personne diffamée, à savoir l’ancien patron du CIP.

Dans ce document daté du 20 août 2025 et signé par Mourad Benradouane, ce dernier écrit : « Monsieur le Ministre, je considère que les attaques dirigées contre vous, comme celle dont j’ai été la cible, ne sont que des manœuvres occultes visant à fragiliser non seulement l’institution que vous dirigez avec rigueur, mais aussi les fondements même de notre nation ».

Passées maîtres dans l’art de jeter l’opprobre sur les commis de l’Etat, les commanditaires de ces « manœuvres occultes » vont vite en besogne en accusant autrui de corruption. A cette accusation, Mourad Benradouane répond dans sa lettre. « Je confirme avec force et conviction que vous ne m’avez jamais sollicité, ni directement ni indirectement, pour des avantages particuliers, des passe-droits ou toute autre forme de faveur », écrit l’ancien DG du CIP, avant d’ajouter « de mon côté, je n’ai jamais eu à vous offrir ni cadeaux, ni avantages de quelque nature que ce soit ».

Explicitant son propos, Mourad Benradouane poursuit dans sa lettre : « à aucun moment, il n’a existé le moindre soupçon de corruption, qu’elle soit passive ou active, dans nos rapports. Bien au contraire, votre rigueur, votre exigence et votre attachement aux principes d’éthique et de transparence ont toujours constitué pour moi un modèle et un cadre de conduite ».

Ce que Abdou Semmar leflayek omet de relever c’est que la justice algérienne peut à tout moment diligenter des enquêtes concernant les soupçons de corruption des hauts cadres de l’Etat. D’ailleurs, de nombreux responsables ont été sanctionnés pour ce genre de délit et des ministres de la Républiques ont été démis de leurs fonctions. L’agitation qu’il a provoquée, obéit à des calculs malsains de groupes occultes dont l’intérêt premier est de nuire à l’Algérie, à ses institutions et à son peuple.

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