Sifi préside une réunion concernant l’importation de 10 000 bus.
En application directe des directives du Président de la République, un programme ambitieux visant l’importation immédiate de 10 000 nouveaux bus destinés au transport de passagers est sur le point de voir le jour. Cette initiative majeure, qui fait suite à la réunion présidentielle du 26 août 2025, vise à remplacer l’actuelle flotte vieillissante et […]

En application directe des directives du Président de la République, un programme ambitieux visant l’importation immédiate de 10 000 nouveaux bus destinés au transport de passagers est sur le point de voir le jour.
Cette initiative majeure, qui fait suite à la réunion présidentielle du 26 août 2025, vise à remplacer l’actuelle flotte vieillissante et à moderniser considérablement les infrastructures de transport public à travers le pays.
Le Vice-Premier Ministre par intérim, Monsieur Sifi Gharib, a présidé ce jour, au Palais du Gouvernement, une réunion cruciale dédiée à l’établissement des mesures et conditions finales pour le démarrage effectif de cette opération d’envergure. L’objectif principal de cette rencontre était de définir les cadres régissant l’importation, la fabrication (le cas échéant), la commercialisation et le financement de ces véhicules.
Cette réunion stratégique a rassemblé des représentants de plusieurs secteurs clés, soulignant l’importance interministérielle de ce projet. Étaient présents les délégations des ministères de la Défense Nationale, de l’Industrie, des Transports, ainsi que de l’Économie de la Connaissance, des Start-ups et des Micro-entreprises. Cette synergie entre différentes entités gouvernementales est essentielle pour assurer une mise en œuvre fluide et efficace du programme.
L’acquisition de ces 10 000 nouveaux bus est perçue comme un levier fondamental pour améliorer la qualité de vie des citoyens en offrant des services de transport plus fiables, plus confortables et plus sûrs. Elle devrait également avoir un impact positif sur l’environnement en introduisant des véhicules aux normes modernes, potentiellement moins polluants.
Les discussions ont probablement porté sur des aspects cruciaux tels que la sélection des fournisseurs internationaux, les modalités de financement, qui pourraient inclure des partenariats public-privé ou des mécanismes de crédit facilités, ainsi que la logistique complexe liée à l’importation d’un tel volume de véhicules. La possibilité d’une composante de fabrication locale, ou d’assemblage, a également été envisagée, ce qui pourrait stimuler l’industrie nationale et créer des emplois.